Les Terres d'Asgampth
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 Légendes, contes et rumeurs de cette terre maudite.

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Fart'h Argawaen
Souverain du Royaume Maudit
Fart'h Argawaen


Nombre de messages : 239
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MessageSujet: Légendes, contes et rumeurs de cette terre maudite.   Légendes, contes et rumeurs de cette terre maudite. EmptyDim 24 Sep - 16:39

La légende de la Perle de Karak.

Une vieille légende des Terres Maudites raconte qu'il ne faut pas se promener, l'âme en peine, sur ses rivages la nuit où, pour la seule fois dans le mois, l'on peut appercevoir la lueur de la lune au travers l'épais brouillard.

Les Anciens du lieu, et il en reste peu qui ont survécu aux grandes guerres dévastatrices, pourront vous raconter cette histoire.

Les soirs étranges, alors que la mer est houleuse et l'écume blanche comme les lys sauvages, une lumière inhabituelle fait son apparition dans le ciel. En effet, une seule nuit par mois, la lune perce la brume maudite recouvrant ces terres.
Ce n'est bien sûr pas le fruit du hasard. Il paraitrait qu'en ces fonds marins, git une perle d'une taille de poing d'homme. Quel rapport cela peut-il bien avoir avec la lune?
Et bien ceci est une autre histoire.

Il y a bien longtemps, chez les premiers elfes noirs qui s'établirent en ce lieu, Adamar le Blanc, neveu de Gorthol, "Heaume de Terreur" , premier Roi de ce peuple sous la lignée des Argawaen, semblait différent de ses compaires.

Son nom étrange lui venait de ses cheveux. Personne ne vit un elfe noir aux cheveux plus blancs que les siens. Si blancs que parfois, alors qu'il se prenait à marcher en pleine nuit sur la plage, qu'on aurait dit qu'ils brillaient. Différent aussi parce que malgré la terre que son peuple venait d'acquérir, il ne semblait pas heureux.
Alors chaque soir, il regardait la mer, cherchant au loin, un autre monde, où simplement une autre destination qui lui correspondrait mieux.
A cette époque, les Terres Maudites comme nous les appelons maintenant ne l'étaient pas encore. Le haleau brumeux ne faisait pas parti de leur quotidien.
Ainsi, Adamar voyait un paysage oublié depuis longtemps.

Un soir, alors qu'à son habitude il se promenait, trainan ses pieds dans le sable humide, il se mit à se lamenter sur son sort, donnant pour la première fois une complainte à la nuit. Son refrain résonnait au rythme des vagues :

"Que la lumière brille pour moi et m'ouvre de nouveaux horizons...
Car cette vie de Roi n'est rien et je le regrette..."


Sa tristesse fut telle qu'elle trouva écho dans une autre voix.
Troublé, il répéta son refrain encore et encore à la lumière des étoiles, encore que cette voix enchanteresse lui répondait à chaque fois. Intrigué et sous le charme de ce sortilège inconnu, sur le bord d'un rocher couvert de coquillage, il s'installa. Et il continua à parler à ce rêve, ce mirage qu'il ne savait que trop vrai. A l'heure où la lune était la plus haute, il leva sa tête et longuement la fixa. Ce soir là, elle était pleine et jamais il ne l'avait vu plus belle. Ronde telle une perle, plus brillante que le cristal, elle prenait toute son attention. A cet instant, il comprit que son rêve ne serait jamais réalisé et que toute sa longue vie serait d'érer chaque nuit sur cette plage à chanter.
Alors qu'il comprit cela, la houle se calma et la mer devint étrangement calme et plate. Au milieu des dernières vagues apparut une lumière scintillante. Faible au départ mais devenant de plus en plus forte.

Surpris par cet étrange phénomène , il descendit de son rocher et marcha doucement vers la mer. Ses pieds ne laissaient aucune trace sur le sol, et ses cheveux restaient immobiles face à la tempête qui venait de se lever. Car c'est ce qui était entrain de se passer. Les lourdes vagues d'écrasaient sur les rochers, le ciel noir de nuages ne laissait traverser aucune lumière, arbres, plantes et oiseaux étaient trimbalés dans tous les sens, obéissant à la volonté vivace et brutale du vent.

Mais Adamar semblait être dans un autre monde.

Il se dirigeait toujours vers l'eau calme, et lorsque les premiers petits remouts vinrent lui caresser les chevilles, l'eau lui parut particulièrement froide.
A peine eut-il le temps de faire quelques pas que le chant répété par cette voix inconnue reprit de plus belle. Un long frisson parcourut tout son être. Mais il continuait d'avancer, guidé par cette lumière et ce chant mélodieux.
Il se laissa alors emporter en leur direction par les vagues douces et bienveillantes. Ces dernières semblaient l'emmener loin, très loin du rivage et de ses compagnons. Mais plus rien ne lui semblait indispensable.
Alors que les courants l'entrainaient par le fond, l'air, lui aussi, ne semblait plus être une nécessité.

Le chant n'était plus un simple chant. Il faisait entièrement partit de lui. Il vibrait de tout son être au son de cette voix mélodieuse, tandis que sa main se rapprochée doucement de cette fabuleuse lumière.

Ce qui a pu se passer à ce moment là, personne ne saura le raconter. Tout ce que les Anciens peuvent dire sera que ce soir de tempête imprévue, des gardes royaux trouvèrent le corps inanimé du neveux de leur souverain sur la plage près d'un rocher. Ses cheveux semblaient briller et le sourire aux lèvres, sa main gauche semblant tenir quelque chose de plus précieux que la vie. Alors qu'ils ramenaient le corps dans sa demeure, au loin une voix résonna parmis le vent hurlant :

"Que ceux qui cherchent la lumière fassent attention...
Car la perle de Karak n'épargne aucune âme insatisfaite....
Que la lumière brille pour moi et m'ouvre de nouveaux horizons,
Car cette vie de Roi n'est rien et je le regrette..."


Personne n'a jamais su ce qu'était cette perle, mais nombreux sont ceux qui virent cette étrange lumière aux fonds des eaux.

Quand à Adamar, il repose maintenant dans la crypte de la famille royale, au château, dans un tombeau de marbre brillant. Certains disent qu'il fut la proie d'une sirène malveillante, utilisant de viles stratagèmes pour arriver à ses fins, d'autre que cette perle existe vraiment mais aussi que c'est un mauvais présage pour celui qui appercoit sa lueure, ou encore, que ce jeune elfe noir fut pri d'une folie démente, confondant le reflet de la lune à la surface miroitante de l'eau avec un trésor perdu y laissant la vie alors qu'il souhaitait s'en emparer....

Légendes, contes et rumeurs de cette terre maudite. F_perlei_5f1fm_ea8c670


Dernière édition par Fart'h Argawaen le Dim 9 Mai - 18:17, édité 4 fois
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Fart'h Argawaen
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MessageSujet: Re: Légendes, contes et rumeurs de cette terre maudite.   Légendes, contes et rumeurs de cette terre maudite. EmptyMer 10 Jan - 23:21

L’Histoire de La Première Reine


Cette histoire bien qu’étrange, et ancienne, reste vivace et présente dans la culture de la nobilitas des elfes noirs. Ceci est en partie dû, voire entièrement, à leur grande longévité. En effet, un tel récit chez les humains mortels tiendrait pour maintenant d’une légende lointaine ou d’un mythe.
Car c’est la vie, ou du moins l’arrivée de la première reine au château des terres brumeuses qui est relaté dans les phrases qui vont suivre.

Le Royaume des Elfes Noirs, gouverné de nos jours par Fart’h Argawaen, Troisième du nom, se compose de nombreuses principautés, tenues sous le joug de la couronne royale. Ces principautés jouissent d’un bon nombre de privilèges mais on aussi des devoirs envers le souverain. Une hiérarchie très prononcée caractérise ces terres. Le souverain, gouverneur suprême, à sous ses ordres un général principal, Sak’t Horn. Lui-même commande à dix princes, à la tête d’une principauté qui eux même préside un conseil social hiérarchisé (nous n’allons pas rentrer dans les détails… ) . Bien sûr le terme « prince » ici n’est pas à prendre au sens royal, mais plutôt au fait qu’il gouverne leur territoire tel qu’un souverain le ferait de son royaume.
Ainsi ces princes, font partie de ce que l’on nomme la « nobilitas », les nobles, les riches, les puissants de ce royaume. Fidèles à leur roi, et à ses préceptes, personne n’a jamais osé contester les décisions de ses supérieurs. Charger de faire régner l’ordre et respecter les lois du Roi, c’est dans l’une de ces principautés, au sud-est du Royaume, en Morik’h que débute notre histoire.

Le régent de cette principauté, Adon Erg Tanien, arrière grand-père du prince actuel, venait de rentrer en possession de sa terre lors que Gorthol s’installa sur le trône du Royaume Maudit, à la mort d'Anborn. Nombreuses années s’écoulèrent, les siècles passèrent, et le Roi, poussé par son conseil, et ses princes du songer à prendre une épouse afin d’assurer sa lignée. Les guerres grondaient aux frontières, la lutte éternelle avec les elfes de lumière ne cessait de tenir ses troupes aux aguets.

Ses combats, sa force, son charisme, sa science de la guerre, sa rhétorique, toutes ses actions et apparitions avaient fait de lui un chef de guerre respecté pour sa sagesse, son intelligence mais aussi sa cruauté. Tous ses ennemis passés sous la lame de son épée étaient morts dans d’atroces souffrances.

Admirés par tous ses sujets, aucun d’eux ne refusa d’offrir sa fille au Roi. Car c’est ainsi que cela se passait. Pour choisir une épouse, un bal fut organisé où toutes les filles de haut lignage étaient conviées. Ainsi, seules les filles directe des princes, et les cousines du souverains étaient aptes à être choisies comme future reine du Royaume Maudit.
Tous les Princes reçurent de la main de leur Roi lors d’un conseil la lettre d’invitation pour cette somptueuse soirée. Chacun se hâta alors de rentrer chez lui, préparer les plus beaux cadeaux, vêtir leurs filles de leurs plus belles robes, de leurs plus merveilleux bijoux. Elles étaient toutes belles, mais une les surpassait : la fille d’Adon Erg Tanien, Arkranian.
Lorsque son père revint avec la nouvelle, Arkranian, fondit en larme et hurlant de nombreuses heures, ne voulant point rencontrer son Roi. Adon, énormément penché sur la guerre et le sang, ne cessait de vouer un culte à la cruauté de son seigneur. Ce qui va s’en dire, n’attirait pas énormément la jeune elfe.

Le sadisme et la torture ne faisaient pas partie de sa vie. Seul le meurtre rapide, la morte sans souffrance guidait ses gestes. Pour elle, un travail bien fait, et source d’honneur ; et pour être bien fait, cela doit être bref et rapide. Une morte lente est alors synonyme d’erreur et d’incompétence.

Bien sûr tout ceci était dans son esprit. Jamais elle n’aurait osé rabaisser son souverain face à son père. Mais c’est ce qu’elle pensait et en aucun cas elle ne souhaiter se marier à un tel personnage, aussi puissant fut-il.

Ce doit être un être horriblement ravagé par sa cruauté, d’apparence répugnante et au regard fourbe et lâche, un seigneur dégoûtant…Voilà l’idée que Gorthol lui inspirait.

Son père insista jusqu’au jour du départ pour qu’elle prenne ses affaires. Mais n’ayant point envie de lui obéir, il décida de l’amener par la force ligoté dans la carriole. Au moment de venir la chercher, tout le domaine était vide. Impossible de la trouver. Fou de rage après des heures de quêtes qui allaient sûrement le mettre en retard au bal, Adon partit seul en direction la grande ville royale.

Après plusieurs jours de voyage, Adon arriva au château. La fête avait déjà commencé et la musique s’élevait au loin jusque dans les rues. Hâtant les montures, le visage bas il pénétra dans la demeure de son souverain et alla le saluer immédiatement pour s’excuser du double outrage qu’il venait de lui faire. Le retard à son bal, et l’absence de sa fille qui avait disparut.

-Mon cher Adon, tu n’as de cesse de nous vanter la beauté de ta fille, et je ne la vois point ce soir. Certes je vais finir par croire que tu nous mens.
-Pardonnez mon Roi, mais cela n’est point mensonge… Arkranian existe bel et bien, mais au moment de mon départ, j’ai eu beau retourné toutes les pierres et brin d’herbe de mon domaine je ne l’ai trouvé nulle part.
-Ecoutez-moi tous ! Le bal continue mais je ne prendrai pas épouse ce soir car toutes les promises ne sont pas réunies ! Adon a manqué à notre accord. Je lui laisse encore une chance de nous présenter sa fille.

Une rumeur s’éleva dans les invités, courroucés d’avoir fait un si long trajet pour rien. Mais le Roi proposa de les garder au château durant une semaine, dernier délais, moment où aurait lieu le dernier bal.

Quant à Arkranian, douée du don de transformation, elle s’était changée en Liminik, un oiseau furtif et sauvage au plumage blanc-gris couleur des nuages et de la brume qui parcourent maintenant ces terres. Voyant que son père était parti, elle regagna la maison. Quelques jours plus tard, trois des gardes de ceux qui accompagnaient Adon au château revinrent à sa demeure. Se cachant de nouveau elle observa leurs faits et gestes. Un d’eux tenait une lettre cachetée du sceau de son père, et soupirait de ne point la trouver. Les deux autres revenus aussi de leurs fouilles infructueuses s’assirent aux bancs de la lourde table de bois.

-Quel déshonneur pour notre prince si sa fille ne vient pas…
-Et quelle mort pour nous aussi ! tu l’oublis ?
-Non bien sûr . Mais bafouer un accord avec le Roi c’est pire que la mort. Le prince perdra toute crédibilité au Yeux du Souverain, et il se fera chasser de ses terres si Arkranian ne se montre pas à ce fichu bal.

Voyant que le temps qu’il leur était impartit pour faire la tâche qui leur avait été confiée dans les temps, les trois garde repartirent pour le château, laissant la lettre sur la table au cas où… Une fois le bruit des sabots au loin, Arkranian sortit de sa cachette pour lire les mots de son père. Il ne faisait que redire plus profondément ce que venait de dire ses hommes devant elle.
Durant un jour entier elle délibéra, savoir si l’honneur de son père et de sa famille était plus important que le sien, et le simple fait de se montrer à ce bal.

Après tout, peut-être ne me choisira t-il pas moi, et de toute manière je peux toujours refuser si c’est le cas contraire.

Ce changeant de nouveau en Liminik, elle parcourut la distance qui la séparait du château en battement d’ailes, pour arriver après le début du bal.

-Alors Adon, ta fille n’est toujours pas ici ? Tu sais ce qu’il risque de se passer, je n’accorde pas ma confiance à des elfes qui se jouent de moi.
-Sire, ma fille est une tête dure… Mes gardes ne l’ont pas retrouvé. Je vous en supplie, je renonce au fait de pouvoir donner bonheur à ma fille en vous l’offrant comme épouse, mais ne m’exilez pas, par pitié …
-Pitié ? Je croyais que tu aimais ma cruauté Adon ? Je ne connais pas ce mot, les règles que j’ai établies seront respectées ! Nous verrons les modalités de ton « départ » dès le matin !

Le souverain énervé par cette affront, sortit prendre l’air quelques instants sur un des balcons de salle de bal alors que les jeunes dames de la cours présentes, ne cessaient de jaser :

« ah ! Au moins la concurrence sera moins rude sans la fille d’Adon, on dit que sa beauté est telle que les anciens dieux en seraient jaloux ! ».

L’air pensif, il fixait une petite fontaine d’où l’eau teintait faiblement se disant qu’aucune des possibles épouses présentes ne lui plaisaient vraiment. Alors qu’il allait rentrer de nouveau affronter le moment du choix décisif, des plumes blanches tombèrent près de lui, apportées par le vent. Il aperçut alors sur sa gauche, un petit oiseau blanc en plein effort, certainement fatigué par un long voyage, descendre dangereusement vers le sol. L’animal s’écrasa sur l’herbe foncée à bout de force. Gorthol sauta du balcon pour atterrir juste à côté de l’oiseau. C’est un Liminik ,que fait-il ici ? Il n’a rien à faire dans cette contrée, dit-il pendant qu’il versait quelques gouttes de l’eau de la fontaine dans le bec de l’oiseau. Le posant sur ses genoux il caressa lentement ses douces plumes. Car il faut le dire, le Roi connaissait tous les oiseaux de son Royaume. Il en était en quelque sorte passionné. Nombreuses sculptures dans la demeure royale représentaient cet animal.
C’est alors qu’une chose extraordinaire se produisit. Epuisée par son voyage et ne pouvant plus tenir le sort, l’oiseau se transforma doucement en une jeune elfe d’une beauté à couper le souffle, vêtue d’une robe digne d’une reine.

C’est elle que je souhaite…

Il caressa ses longs cheveux blancs comme il avait caressé ses plumes auparavant. Ce geste tendre réveilla Arkanian, qui surprise par la présence de cet inconnu recula de frayeur. Mais elle n’eut ni peur ni envie de fuir. L’elfe en face d’elle était doux, elle avait sentit ses caresses, beau, noble et habillé richement.

-Qui êtes-vous, femme oiseau ? Votre magnifique visage semble épuisé, d’où venez vous ?
-Je viens de Morik’h, et je suis la fille du Prince Adon Erg Tanien, je me nomme Arkranian .
-Alors c’est donc vrai ! Adon à une fille ! Et ta beauté vantée mille fois par ton père est mille fois au dessus de ses dires. Soyez heureuse, Arkranian, car vous avez été choisie.
-Choisie pourquoi ?
-Pour être l’épouse de votre Roi !

A cet instant elle vit un faible joyau brillait à la lumière de la lune sur le front de l’elfe lorsqu’il se releva pour l’inviter à le suivre. Alors elle comprit qu’en face d’elle se tenait le Roi, celui qu’elle ne voulait voir, qu’elle croyait repoussant et dégoûtant. S’apercevant de son erreur elle ne dit rien, et suivit le roi dans la demeure.


Voici comment la première reine fit son entrée au château. Il est coutume maintenant, à la 6e lune du 3e mois de l’hiver, de faire un bal, en l’honneur de cette rencontre. Chaque invité doit porter un masque de plume blanche pour rappeler cette elfe dont la beauté jalousait les dieux, et qui fut empoisonnée de nombreux siècles après dans des circonstances étranges.


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