quête du poignard d'argent

Yamashita réfléchissa quelques minutes, puis se leva et dit :

- Allons dans l'autre salle, peut être que certaines chose à l'intèrieur nous apprendrons comment trouver ce sataner poignard.

Invité

" Trés bonne d'autant plus que ce trés chére Maol s'emble nous caché quelque chose au sujet du portrait de l'homme lui ressamblant dans l'autre piéce!"

Se dirige vers l'autre piéce.

Maol sentait que la situation lui échappait, et qu’il n’avait guère envi de se déployer en arguments afin de convaincre ses deux compagnons que cela ne valait pas le coup de se rendre dans une autre salle.
De sa voix lente et fatiguée, il tenta toutefois de raisonner Yamashita et Deacon.

« Je vois pas pourquoi il y aurait quelque chose d’intéressant dans l’autre pièce. De plus il n’y a rien d’étonnant à ce qu’il y ait mon portrait ici. »

Il se tourna vers Yamashita.

« Après tout je suis le premier être à être né ici. »

Il se tut un instant. La situation était plus critique qu’il n’y pensait. Pas un instant il n’avait songé à ce que son « cercueil », la chose qu’il avait souhaité le plus évité, se trouve juste à coté de celle qu’il recherchait.
A présent, c’est une double situation qu’il allait devoir gérer, et cela il n’en avait pas vraiment envi.

Yamashita se dit que la réflexion de Maol ne servait a rien sur son désir de curiositée. Il avança dans la pièce, puis une fois entré, vu un portrait de maol.

C'est alors que, voyant la pièce lugubre il eut un éclair d'intelligence.
Il agrippa Maol et dit a deacon : - Deacon, je dois parler a notre seigneur, pour une affaire privé.

Il chuchota à Maol :

- Si vous êtes né ici le premier, cela veut dire que vous avez été libéré le premier ici.

Yamashita continua : - Aussi, si je sais cela, c'est dut à une légende comme quoi, pour équilibrer le monde, le créateur avait enfermer les 14, en les endormant. Cependant, cela n'ai qu'une légende, et j'aimerai plutôt que d'aller sur l'île du savoir, que vous me disiez la suite..

Maol avait beau tenté de trouver des excuses afin d’éviter tout interrogatoire et surtout, de devoir entrer dans la pièce où était renfermé son portrait. Mais la force des choses fit qu’il se retrouvait contraint d’entrer dans cette pièce. A peine eut-il mis les pieds à l’intérieur, que son regard se posa sur son ancien portrait. Aussitôt il ferma les yeux. Les « démons du passé » exerçaient bien trop d’influence sur son esprit. En aucun cas il ne devait voir ce qu’il était avant que cet « événement » ne survienne.

Yamashita se mit à l’agripper, tout en demandant à Deacon de les laisser. La paresse continuait de garder les yeux fermer. Il craignait que son compagnon de route ne devine quoi que ce soit. Contre toute attente il l’interrogea sur l’enfermement des 14. Là dessus, il pouvait se permettre de donner quelques explications.

« Cela dépend de ce que vous entendez par libérer. Si vous faite référence à l’enfermement du à la Grande Guerre, seul six des 10 furent endormis et exilés. Les quatre Premiers n’auraient pu subir ce sort. S’ils furent les Premiers créés c’est par ce que l’Être Suprême avait besoin d’eux en premier. L’Orgueil pour pousser les Hommes à accomplir de grande chose, La Loyauté, pour qu’ils s’entraident et deviennent ainsi plus forts, La Prudence, pour guider leur instinct de survie, et La Luxure… et bien pour qu’ils se reproduisent. »

Il resta un instant sans parler, se sentant fatigué. Une envie de dormir s’emparait de lui, mais « quelque chose » l’en empêchait, comme dans le passé. Au bout de quelques instants, il reprit.

« Si vous entendez par libération, le libre arbitre, il n’y a pas eu de distinction entre moi et les autres. »

La Paresse sentit un frisson désagréable parcourir son dos, ce qui le poussa à ouvrir ses yeux. Son regard se posa sur son portrait. Il avait presque oublié à quoi il ressemblait auparavant. Le passé refit surface en lui. Il s’approcha lentement du tableau, et le frôla du bout des doigts. Son visage se tourna vers Yamashita. Pour la première fois depuis longtemps, ses yeux étaient grands ouverts. D’une voix tremblante il s’adressa à lui.

« Tout ça c’était sa faute à Lui ! A LUI ! A LUI ! Pas à moi ! C’est Lui qui est un incapable ! C’est lui qui n’est pas foutu de… de… »

Ses yeux se fermèrent. Maol prit une grande inspiration, puis se déplaça vers Yamashita.

« Il n’y a rien d’intéressant ici. Retournons dans l’autre salle. »

Maol passa près du tombeau de pierre, et se dirigea vers la sortie.

Yamashita était content de ces réponses, cela le tracassait de pas savoir quelque chose.

Mais, lorsque Maol le ragarda avec ces yeux, et cette phrase, cela le surprit.

Il regarda un dernière la pièce, puis, ouvra la bouche mais la referma de suite.

* Que signifie cette phrase ? Il y aurai quelque chose ? Je lui poserai la question plus tard*

Maol, repartit dans la troisième salle, l'esprit embrumé, mais rassuré de ne pas avoir à subir d'interrogatoire quant à ce qui venait de se passer. D’un pas lent, le visage baissé, il entra dans la pièce où se trouvait le poignard d’argent. Celui-ci se trouvait toujours protégé par le champ de protection spatial, en forme de dôme noir.
La Paresse devant celui-ci attendant que l’un de ses compagnons émette une suggestion.

(ben y a pas grand chose de plus à ajouter)

Yamashita avanca dans la pièce ou se trouvait ce poignard.

Il passa au travers du champs, et essaya de l'attrapper. Il ne réussi qu'a prendre de l'air.

Alors, il réfléchissa, et se souvint que ce type de champs particulier était dédier a protèger quelques chose du mal, de l'obscur.
Or, lui n'était pas réelement mauvais, mais se moquait de l'utilisation du poignard, chose que protège aussi ce type de sortilège.

Alors, il regarda Maol et dit: - Seul decon peut y aller. Nous, nous somme trops pervertit, ou soit on estime pas avoir l'utilitée de ce poignard. Espèrons que deacon réussira.

Yamashita fit part de ses impressions, tout en signalant que tous les deux étaient trop « pervertis » pour pouvoir acquérir l’arme. Maol resta muet quelques secondes, puis répondit à cela de sa voix lente.

« En vérité cela n’influe pas sur la manière d’obtenir le poignard. C’est une arme créée par l’Être Suprême, donc elle est neutre. Nous l’avons déjà eu en notre possession. »

Son compagnon de quête proposa que Deacon essaie. La paresse haussa lentement les épaules. Il ne savait pas vraiment si le maître des illusions serait capable de quelque chose, il ne s’agissait pas de créer une illusion dans le cas présent, mais de se rendre dans une autre dimension spatiale, et d’en revenir avec l’arme. Mais il se pouvait que Deacon ait les moyens de faire cela. De plus, il n’avait pas très envi de réfléchir à leur situation. Son passé avait refait surface en lui, et tout ce qu’il avait tenté d’oublié agissait sur sa tranquillité d’esprit, autant que sur son physique.

La Paresse se trouvait toujours présent dans la salle où le poignard était enfermé dans un dôme de protection spatiale. Il attendait que l’un de ses deux compagnons ne se décide à faire ou à dire quelque chose qui pourrait faire avancer leur quête, mais il semblait qu’aucun des deux, pour l’instant ne soit en mesure de faire quoi que ce soit. Il est vrai, que ce genre d’obstacle est peu courant, et qu’il est, la plus grande partie du temps, impossible de les enlever par le simple fait de la magie.

Maol s’approcha du champ de protection, et en fit le tour à plusieurs reprises. Etant donné qu’il était très lent, cela lui prit un peu moins d’une heure. Son regard ne quittait le dôme de couleur noir. De temps en temps, il passait sa main au travers, et restait ainsi pendant de longues minutes, comme s’il réfléchissait à quelque chose et que son esprit s’était égaré dans ses propres pensées.
Il finit par se mettre à genoux et à regarder le sol. Il l’observa pendant de longues minutes, puis se releva, tout en se dirigeant vers ses deux compagnons.

« Etant donné que c’est un dôme de protection, il n’y a rien sur le sol en dessous du poignard d’argent. Donc si on passe par en dessous, on pourra avoir l’arme. »

Il se tut pendant quelques instants et observa ses compagnons l’un après l’autre.

« Qui creuse ? »

Le regard de la Paresse s’était dirigée vers le sol, qui était constitué d’une première couche de terre boueuse, due à l’humidité des marécages, et une seconde couche de terre, un peu plus sèche et consistante.

Invité

"Ba je veux bien me dévouer pour exécuter cette tache car je ne vous pas beaucoup aider dans votre quéte ^^!"

Puis Deacon ce demanda comment il allé faire pour creuser sans se sallire puis il réfléchi réfléchi et puis enfin il eut une idée il créa alors une taupe et la fit creuser vers le bas pour accéder au bas du pilié puis vers le haut pour accéder à la dague, une fois arrivé au niveau de celle-ci il fit disparétre la taupe pour faire apparétre un serpent qu'il fit monter puis récupérer la dague dans bouche puis avaler , et pour finire redéssebdre , venire dans sa main et puis le fit disparaitre laissant apparaitre la dague dans sa main puis il dit tout en tendant la dague vers maol:

" Tenait voila l'objet de votre convoitise!"

( Deacon le retour yeah )

(lolll, et bien bon retour... Wink

)

Après avoir présenté le fait qu’il leur était possible de s’introduire dans le dôme de protection en creusant un souterrain, Deacon se porta volontaire afin de récupérer l’arme. Il fit agir sa magie, dans le but de créer des animaux possédant les capacités nécessaires au bon fonctionnement de cette opération. Le serpent revint au près de son créateur, disparue, laissant dans la main du maître des illusions le poignard d’argent, qu’il tendit en direction de Maol.
Ce dernier avança sa main, et prit l’objet, tout en murmurant un vague et faible :

« Merci. »

Puis il se tourna vers Yamashita.

« Bon ben c’est finit. On rentre. »

Il commença à se diriger vers la sortie, tout en traînant un peu les pieds sur le sol. En même temps, il s’adressa au maître des illusions.

« Tu viens avec nous au château de l’obscurité ? »

Maol regagna la pièce qui donnait sur les trois portes, et commença à se rendre dans le long couloir qu’ils avaient traversé.

*Enfin, il était temps*

Maol, avant de rentrer, je dois aller dans la forêt des ombres.
J'ai quelque chose de très important à régler. Aussi, pour cette raison, je voudrai que tu me montre un sort de terre comme promis.

Après cela, tu es libre de vouloir venir avec moi ou non dans cette forêt.

Alors que La Paresse se dirigeait vers le long tunnel qu’ils avaient emprunter, Yamashita lui rappela qu’il devait se rendre dans la forêt des ombres, et que de ce fait, il nécessitait le pouvoir promis par Maol, tout en lui demandant de faire une démonstration de magie de la Terre. Lentement, le jeune homme se tourna vers lui, le dévisagea longuement, puis d’un ton neutre, lui répondit.

« Non. »

Puis il se retourna afin de suivre le chemin qu’il avait commencé à emprunter.

« C’est impossible. Je ne possède pas cette magie. Seules mes sœurs l’ont. D’ailleurs, si je l’avais eu, je n’aurais pas eu besoin de votre aide pour créer un souterrain pour récupérer le poignard. »

Ses pas lents continuaient d’avancer dans les ténèbres du tunnel. L’odeur de renfermé était toujours présente. Plus il avançait, plus il sentait cette écrasante fatigue, qui l’avait submergé au départ, le quitter peu à peu.

« Si vous souhaitez ce pouvoir, il faudra vous rendre au château de l’obscurité avec moi. »

*Argh, cela va me retarder*

- Bon, je n'ai pas le choix. Je vous suit.

Yamahista suivit donc Maol, maudissant le détour qu'il devait effectué.

Invité

Deacon eu un petit sourire en coin quand Maol répondi à Yamashita puis il entrepri de les suivre car sa curiosité naturel le pousser a voir comment cela allé se terminer il répondi donc a Maol en disant:

" Mais biensur trés chére maol je ne manqurais ça pour rien au monde ^^!"

Yamashita fut ainsi contraint de suivre Maol, jusqu’au château de l’obscurité. Quant à Deacon, il décida se rendre en ce lieu avec eux. Maol acquiesça d’un vague signe de tête, tout en continuant sa route. Après avoir traversé le long tunnel, ils gagnèrent ensemble, le second, celui par lequel ils étaient tous arrivés dans ces souterrains.
La Paresse s’arrêta d’avancer lorsqu’il s’aperçu qu’il n’y avait plus de passage. Il leva la tête. Au-dessus de lui se trouvait du long tunnel vertical, dans lequel ils étaient tombés. Son regard se tourna vers Deacon et Yamashita.

« Il faudrait remonter. »

Il continuait de les regarder, l’air endormit. Puis, il plaça le poignard d’agent dans son sac, qu’il remit sur son dos.

« L’un de vous peut utiliser sa magie pour nous faire gagner la surface ? »

Invité

" Bien évidament"

Répondit Deacon à la question de Maol il s'empressa aussito de fair apparétre un lézard géant muni de siége sur le dos afin que ses compagnon et lui même puisse s'assoir dessu puis il se retourna vers eux et dit:

" Votre carosse est pret ^^ lol "

*Pourquoi un lézard !!!

Il aurai put cré un ascenseur, cela aurai été plus pratique et agéable !!*

Yamashita prit son bâton en le tenant ferment comme une canne.
Il monta alors sur le lézard, et vit Maol faire de même (je te scuise Maol, mais je pense que faire un post pour si peu t'aurai vraiment embêter vu ta fainéantise Wink

)

Le lézard monta alors, s'agripa au paroi grâce à ces patte rugueuse.

Les trois personnages arrivèrent rapidement en haut.

(lollll, tu me connais déjà si bien..)

Après que Deacon ait fait apparaître l’illusion d’un lézard géant, muni de selle, Yamashita, Deacon (je suppose) et Maol et prirent place sur celui-ci afin de regagner la surface. Une fois hors de la partie souterraine des marécages du désespoir, un second problème se posaient à eux. Ils devaient à présent regagner ensemble le château de l’obscurité, et ceci dans les plus brefs délais.
La Paresse descendit de la monture à écailles, et dévisagea ses compagnons. Pour l’allée, Yamashita avaient créé des chimères à l’aide de créatures trouvées dans les eaux du port, mais pour l’heure, nul être ne semblait suffisamment proche d’eux afin de recréer le même schéma.
Autour d’eux, le lieu semblait encore plus sombre que lorsqu’il l’avait quitté. L’humidité régnante avait fait baisser la température de quelques degré, ce qui était courant lorsque la nuit tombait. Il n’y avait que de l’eau boueuse, quelques arbres, dont la plus part étaient morts, et quelques insectes, de tailles ridicules, qui volaient autour d’eux.
En cet instant, la Paresse jugea que, finalement, il n’était pas si mal que cela au château de l’Obscurité, même s’il devait supporter certains membres de sa famille plus que gênant.

« Bon. Qui fait apparaître quelque chose ? »

Yamashita sentit que c'était à lui de faire apparaître des bestioles.
Deacon avait largement fait son travail.

Il traça alors sur le sol une grand arcarne de forme circulaire, mais avec des signes tribaux l'ornent.

Au milieu de cette forme circulaire, se croisa plusieur droites.
Alors, il prononça un formule dans une langue perdu, que seul les maître des arcanes maîtrisait.

Alors, avec une violence incoyable, l'arcane s'illumina, et des flamme suivant la forme tracer s'élevèrent.. D'un coup, un portail se dégagea, apparut. On voyait le château de l'obscuritée au travers.

Yamashita alors prît son bâton et dit aux autres:

- Passer rapidement, ce portail utilise le 3eme monde.
Ce serai bête que vous n'en réchappier pas.

Puis en regardant ces compèrent, il ajouta :
- Moi, je suis issu de ce monde, alors je ne craint rien.

Le petit groupe s'avança et traversa le portail.
Il se referma dès que Yamashita passa, vu qu'il était le dernier ayant traverser.

*Je suis fatiguer. J'ai beaucoup perdu d'énergie, mais on a gagné en temps. Allons, dépêchons !!! Mon royaume est si proche après avoir appris ce sort.*

A la demande de Maol, Yamashita usa de ses pouvoirs afin de faire apparaître un portail menant devant le château de l’Obscurité. Ce lieu étant protégé par une puissante magie maléfique, il aurait été impossible à Yamashita de les mener directement à l’intérieur de la bâtisse.
Comme à son habitude, la Paresse réagit à peine, se contentant d’avancer dans cette direction. Son compagnon de quête prit grand soin de préciser qu’il leur fallait faire vite, s’ils ne souhaitaient rester coincer dans le 3eme monde, auquel il avait fait appel. Lui, venant de ce monde, ne craignait point ce genre de problème.
Maol se contenta d’acquiescer.
Tous trois avancèrent et disparurent au travers du portail, qui se referma aussitôt derrière eux.

(Suite au château de l’Obscurité….)