a la recherche du potiron

Habilement manœuvré, le trimaran provenant de l’île des fous, s’élançait sur l’embouchure du port.

A la barre le roi fou qui durant tout le voyage n’avait absolument pas regardé la direction de route.
« Petit navire toi qui n’avait jamais coulé veux-tu l’expérimenter… la la la la ! »

Les marins plus que ravis de revoir le port, se mirent à implorer toute sorte de dieux pour que plus rien ne leur arrive jusqu’au débarquement.

Mégalo dirigea le bateau vers un amarrage.
Le bateau vint se heurter le port avec toute la douceur de la peau de chamois tout en s’exclamant :
« - Ha l’atterrissage est toujours difficile !
- Mon capitaine, c’est un navire ! Il accostage, il n’atterrit pas !
- vous étés sûr ? C’est dommage…»

Disait-il, les yeux remplit de merveilles, en imaginant un bateau plongeant dans l’eau tel un dauphin.
Sur ces paroles le roi descendit de son navire, mais il se prit les pieds dans une corde.
Ce qui le fit tomber.
Enervé par cet événement, il tira d’un coup sec sur cette corde. Un ‘pop’ se fit alors retentir.
Les marins restèrent immobiles, certains avaient des larmes qui commençaient à couler.

Mégalo venait de retirer le bouchon du bateau. Le navire commença à couler, émettant des ‘blop’ successifs.

Quand a mégalo il cria : « Tiré Coulé !» .
Puis s’en alla sur les quais.

Là il trouva un vieil homme assis et lu dit : « Ô roi de cette île, me diriez vous où se trouve la potiron et la courge ? »

Le vieille homme toisa l'homme qui lui avait parlé. Il tira longuement sur sa pipe, expulsa la fummé avec soin.
"La potiron o' la courge? Y en a ach'té sur le quai d' coté." Il parlais avec un fort accent.

Le port fourmillier d'activité, fruit, legumes, poisson et des disaines de marchandises s'emblaient étre constamant monté ou descendu des bateaux.
Un groupe d'homme en arme semblent se diriger vers le ponton oû un bateau venait de sombrer mistérieusement.

Derriere le viieux pecheur s'etendais une ville assez grande. Des boutiques, portes ouvertes,offraient aux badeaux l'hospitalité. Les commercants essayaient tant bien que mal de leur vendre leur breloque.

Une dispute éclata dans une ruelle. " Espece de cinglé, tu n'aurais jamais du faire cela. Ils vont venir tous nous...." La voix s'emblait avoir été etouffé par une main qu'on place sur la bouche.

A coté des deux interlocuteurs, des gens armés approchaient .

Mégalo qui du coin de l’œil les voyaient se rapprocher, s’inquiéta.
*Houla ! Des as de pique qui arrivent par là ! Il va falloir que je m’éclipse rapidement, sinon ils vont m’arrêter pour avoir couler le bateau !*

C’est dans la précipitation qu’il se sépara de celui qu’il avait cru le roi de l’île.
« Merci roi ! A plus, faut que j’aille voir ma grand-mère qui se trouves dans mon armoire ! »

Le roi de fous s’en alla comme si de rien était en sifflotant à droite et à gauche. Puis il vint s’accroupir dans la ruelle où se trouvait de gens qui se cherchait querelle.
Il garda son regard planté vers le sol et dit à très haute voie :
« Ha comme elles sont jolies ces fleurs ! »
Alors qu’il y avait en cet endroit autant de fleurs que de smuorph.

Seul un autre fou aurai compris ces propos et pour cela il faut savoir les pensées de mégalo qui étaient à cet instant :
*Si ils entendent que je fais des choses banales, je passerai inaperçus, et le seul moyen pour qu’ils remarquent que ce que je fais est banal, c’est de le crier *
Il était tout content de son résonnement a tout épreuves.

Il se releva et couru le plus vite possible vers le marché en chantant :
« J’aime la galette savez vous comment ? Quand elle est bien faite avec du beur dedans ! La la la la ! »

Il arriva finalement ésoufflé sur le marché. Il y avait toute sorte de légume et en particulier des courges, concombre, courgette, potirons, potimarron, citrouilles, pâtissons, coloquintes ? Enfin bref toute sorte de cucurbitacée !

Mégalo avait l‘air très pensif devant une citrouille.

Il tendit son bicorne à vapeur et fit des signes pour montrer qu’il voulait faire un échange.
« Moi prendre citrouille et toi bicorne, ça être troc »

Il s’exprima de cette manière pensant que les gens d’ici parlaient une autre langue, alors que là c’était plutôt lui qui paraissait s’exprimer en une langue étrangère

Mégalo prit alors la citrouille qui prit la place du bicorne, c’est à dire sur la tête de mégalo.

Apres réflexion, Mégalo fronça les sourcil l’air de dire non.

ôtant ce couvre chef et le rendant à la marchande, il articula lentement et distinctement, comme s’il s’adressait à un mal entendant :
« La variété ne corresponds pas à ma taille. »

Puis il reprit :
« Moi c’est plutôt patates. »

Il parlait tout en exécutant toute une gestuelle pour illustrer la patate. Il avait donc gonflé ses joue et levé ses bras en forme d’arc de cercle. La posture était de plus ridicules ce qui était en total contraste avec le sérieux de la demande de mégalo.

Quand Mégalo pris ses jambes à son coupe, les gardes allérent parler aux marins qui regardaient l'air dubitatif leur bateau au fond des eaux .

Le femme qui vendait les cucurbitacé tener sa boutiques prés du port. Elle était accoutumé à voir des étrangés venir devant son étale. Il y en avais qui avait des attitdues bizarre. Pourtant devant l'attitude dansante ét changeante de cette inconnu, elle resta dubitatif.
La bouche ouverte, elle semblais comme un poisson hors de l'eau.
"Mais... mais ... " Son visage s'empourpa.
Elle hurla," Allez vous fichtre de la figure d'une autre! Espece d'olibrius!" Elle menaca Megalo d'une courge qui devait déjà étre pourris il y a une semaine.

Du coins de l'oeil, Megalo remarqua que les gens de la rue semblais s'écarté laissant passé une personne. Il n'arrivé pas à lla voir à cause de toutes les têtes.

Mégalo remarqua que les gens autour de lui s'écartaient pour laisser passer une personne, dont il ne pouvait apercevoir le visage. Il leva son bras, huma l'odeur de ses aisselles, fit de même avec l'autre bras. Puis il se dirigea vers la vendeuse, et s'adressa à elle.

"Reprenez vos cucurbitacées! Ils sentent tellement que tout le monde s'éloigne! Regardez!"

Mégalo s'imagina ensuite que les gens qui s'éloignaient de lui, l'avait reconnu. Il pensa alors:

*Ils m'ont reconnu! Il ne faut pas que je sois démasqué car... je suis un espion top -secret invetit d'une mission encore plus secrète, que je ne connais pas moi même tellement elle est secrète!*

Il reprit son bicorne à vapeur et le plaça sur sa tête pour se fondre dans la masse.

*Jamais ils ne me reconnaîtront comme ça!*

Alors que l'inconnu de la foule arrivait vers lui, Mégalo s'accroupi et observa deux specimènes de cailloux entrain de se reproduire. Il s'esclama:

"Mais j'en n'ais pas des comme ça chez moi!"

Et discrètement il les subtilisa pour les déposer sous son couvre-chef.

Un riche personnage se tient à coté de Megalo. Alors qu'il relève les yeux, Megalo peut découvrir de somptueuses bottes avec des boucles d’or, un superbe pantalon en velours bleu, une ceinture en soie rouge qui se ferme par une somptueuse broche dore sertie d’un saphir. Une chemise très élaboré de broderie doré et argenté sur ses épaules une cape taillé dans un étoffe très difficilement reconnaissable mais sûrement de grand prix.

« Combien pour votre Chapeau ? Saltimbanque »

Alors que mégalo était encor accroupi, une ombre s’approchait de lui. Une ombre qui avait pour partenaire, un assez étrange personnage. Accoutré d’une manière des plus incongrues !

C’est alors que l’homme lui demanda quelle était la valeur de son couvre-chef, L’attitude de Mégalo changea, il devint plus méfiant avec ses yeux qui se plissaient comme ceux d’un petit lutin dont le nom restera anonyme ! Mégalo compris bien que cette personne l’avait surpris entrain de voler ces précieux cailloux. Et qu’il voulait le confondre devant le public pour que tous sache quel acte ignoble venait d’accomplir le bon roi de fous.

Il en déduit que dans cette île on accordait encore plus de valeur aux cailloux qu’aux battons sur son île !

Il se sentit touché par l’intention de cet homme de sauvegarder le patrimoine de son peuple.
Megalo s’exclama :
« Vous avez de bien étranges coutumes; vous portez des cailloux sur vos habits! De plus elles sont très moches vos caillasses! »

Sur ces dernières paroles, Mégalo, d’un geste de charité, ample et soudain, il arracha la broche.

Il sortit un des cailloux qu’il avait discrètement subtilisés auparavant.
Et c’est en souriant qu’il essaya d’incruster des pierres sur les habits de l’homme.

Le riche propriétaire est scandalisé par l'attitude de Megalo.
Il hurle " A moi, a la garde!"
Les gens qui sont autour de vous deux s'écartent aussi tôt.
Un groupe de cinq types fortement musclés débarque. Ce sont sûrement ses gardes du corps. Ils ont tous un équipement très caricatural d'une troupe de mercenaire.
Il y a un elfe archet, un magicien en robe bleu, deux guerriers à l'épée l’un très soigné, l'autre semble être alcoolique et pour finir un géant de feu.

Le géant sans attendre envoie une lourde massue en direction de Mégalo.

Alors que mégalo s’acharnait à essayer de faire tenir le cailloux, il allait se faire agresser par cinq brutes.

Les hurlement de la personne financièrement riche, lui provoquèrent un mouvement de recule de la tête.

C'est alors que Mégalo put voir les cinq mercenaires arrive. Il comprit qu’il venait de faire une bêtise. Il croyait que cette erreur eut étée d’insulter les potirons de la marchande.
* Hou ! La belette ! Belette animal à fourrure ne l’oublions pas !*

Il les compta comme si le fait de les dénombrer, lui permettait d’évaluer l’ampleur de la bêtise qu’il avait commise.
« Un, deux, six-douze, deux ! Hou là faudrait mieux que je partes ! »

Mais avant qu’il n’eut put retourner, la massue du géant vint s’écraser sur sa tête. Ce choc lui incrusta sa boite pensante dans ses épaules.
S’en suit un mot sorti succinct de sa bouche comme si de rien n’était : « Aïe… »

Son corps fit quelques pas vacillants et sa bouche marmonna encore quelques inepties incompressibles avant de s‘étaler sur le sol et perdre connaissance.

( h.j. : je suis désolé j’ai presque mis un mois a te répondre !! )

(hj les impératifs de temps, je peux toujours comprendre. L'important c'est que tu réponds)

Megolo se réveille groggy dans une geôle.Une légere pélicule de sang coagulé sur le bord du visage. Il n’a plus de tricorne sur la tête ni plus aucun objet de valeur. On lui a même pris ses chaussures. Ses orteils sont au contacte de la pierre froide et humide.
Deux autres hommes se trouvent dans la cellule. Un vieillard qui semble être la depuis toujours et un garçon d’une vingtaine d’années qui dort allongé sur une paillas. Megalo ne peux voir que le dos du jeune homme.

Le vieil homme chuchote: "Ne parle pas trop fort, il ne faut pas le réveiller. Je suis Pimus, t’es là pourquoi ? "

Alors que le froid titillait ses petons, Mégalo commençait à réaliser qu’il avait perdu connaissance.
Il s’aperçut bien vite qu’il lui manquait quelque attirail.
« Hum mm… Hein??? »
S’exclama-t-il en touchant simultanément ses pieds et sa tête.
« Mon bicorne ! Mes chaussons à carillons ! Et mes chaussettes, mes chaussettes à petit poids! »

C’est alors que son compagnon de cellule lui adressa la parole le questionnant sur la raison de sa présence en ce lieu. Alors Mégalo lui répondit le plus naturellement du monde.
« Ben… Je suis là pour la potion ! »

Mégalo réalisant qu’il s’était trompé sur la marchandise, exprima une grande exclamation tout en tapant son poing fermé sur sa plante de pied.
« Ha…C’est pour ça ! »

Mais il ne s’étendit pas sur le sujet et continua sur la discutions avec le prisonnier.
« Ha !! Ils ont de jolies chambres d’hôte sur cette île !! Avec de grandes fenêtres et de grands barreaux ! »
Il Disait tout cela en titillant une de ses mèche de cheuveux qui repiquait.

Apres cette réflexion Mégalo gratouillant son menton se demanda :
« Mais pour quoi ils les fenêtres donne-t-elles sur des murs ? Etrange… Est-ce que les murs donnent eux aussi sur des fenêtres ? Et les portes ? Donnent-elles sur des murs ou des fenêtres ? »

Finalement Mégalo arrêta ses digressions pour répondre à la question de son colocataire.
Il s’échauffa les cordes vocales avant des chanter.
« En chanté Primus !»

Mégalo continua la discutions sans chanter cette fois-ci.
« Et vous, vous avez été invité pour quelle raison ? Et pour quoi il ne faut pas le réveiller ? Si on ne le réveille pas, il ne pourra pas savoir qu’il dort ! Par conséquent il ne pourra pas dormir ! »

Alors que Mégalo s'éxprime trop fort et de maniére beaucoup trop vive. Il remarque le visage de Pimus qui se déconfit au fur et à mesure.
"Pas si fort" chuchote le vieille homme.
Mais il est beaucoup trop tard. Le jeune garçon se reveille.
Il a un oeil rouge et un autre complement blanc. Il regarde Mégalo.

" les portes sont ouverte à toute les fénetres. Un homme qui entre par la fénétre trouve les portes fermer. Si on suit un mur on tombe forcement sur une fénétre ou sur une porte on peut en deduire que les portes et les fénétres poussent sur les murs."

Il se leve marche d'une maniére étrange comme si tous les dalles n'était pas sur. Il s'approche de Mégalo jusqu'au lui collé le net sur le front.

" 38,9°C une fievre horrible, vous devez étre contagieux. Vous ferriez mieux de vous allonger ou de faire le poirier. Contre la fiévre de cheval à moins que ca soit une fiévre à pas faire coucher un chien dehors. Mais evidement l'une comme l'autre se guerrise la tête en bas."
Un fois ses mots dit . Il va contre le mur et fait le poirier." Je serais plus à l'aise pour parler ainsi."

Pim semble consterné. Visiblement il semble plus que dépiter par l'attitude du jeune homme.
Ne faite pas attention à lui. Il est toujours comme cela. Si vous avez vu hier quand ils ont améné. Il attaquait les gardes en les prenants pour des canards-tortues.

Le jeune homme toujours à l'envers. " Tous à des canards tortues avec des longues dents grises. Parcontre toi s'était des gardes démoniaques suceurs d'orteil qui ton aménais. Tu devrais regarde si c'est pas un bou d'orteille manquant qui provoque ta fiévre."

Lorsque ce médecin lui rendit compte de son diagnostique, mégalo voulut par politesse lui rendre la pareille. Et pour cela, il eut l’intention de lui dire : « Vous de même ». Mais avant qu’il n’eut prononcé ces mots, le monsieur docteur prit les devants et s'appliqua son remède.

C’est alors le deuxième compagnon de cellule lui raconta ce qu’il s’était produit hier.
Mégalo l’écouta attentivement ainsi que ce que lui expliqua l’homme poirier.
Ainsi le roi des fous eut une longue réflexion sur leurs propos, suivit d’une brillante déduction.
« Hum des gardes démoniaques
Hum des canards-tortues.
Hum le tord-tue et le K narcisse.
Hum un poirier ?
Hum un compatriote ?
Hum 38 de fièvre.
Hum… »

Mais à peine eut-il le temps d’émettre son dernier « Hum » qu’il réalisa soudain de l’extrême urgence des évènements.
« Hou là ! Il est déjà 38 ! Je suis navré messieurs, il faut que j’y aille j’ai rendez-vous a 63 ! Ce fut plaisant de faire connaissance avec vous. »

Tendis qu’il adressait ses au revoir, Mégalo se dirigeait vers la seule porte. Il tenta de saisir une poignée qui aurait étée invisible. Cela ne fonctionnant pas, il fut troublé puis il examina avec attention la serrure avant de tenter d’y insérer son indexe.
Il retenta d’introduire son gros doigt dans ce petit trou. Puis échouant a chaque tentatives, il se retourna vers Pim.

« Mr Pim, Auriez vous des champignons pour rétrécir ? »

Le regard de Pimus passe de l'un à l'autre. Il semble navré. Il avait sument espréré avoir un compagnon de cellule normale.
"Non, je n'ai pas de champignon de la sorte"

La serrure de la céllule clique. Avant d'ouvrir la porte un garde se fait entendre. " Veuilliez vous reculé!"
Plusieurs gardes entrent dans la piéce.
"A moi le Coup Fou, crit le jeune garcon." Il commence à les taper toujours la tête en bas. Les gardes savaient à quoi s'en tenir. Il l'immobilisérent rapdiement.

" Vous étes Mégalos le roi des Fous?" demande le garde.

Le garde qui venait de parler était bedonnant. Il se gratte la tête et dit:
" Le plus simple est d'aller chercher le marin. Ils nous dira au quel des deux. il a payé le jugement expresse."
D'un air entendu, il regard ses équipiers. Il ferme la porte et s'en va.
"Ah! Ah!" crit le jeune homme aux yeux verons. " C'est exactement ce que j'attendais." Dans un mouvement dement, il projet les deux gardes contre le mur de la cellule. Il se redresse sur ses jambes. Il s'approche de la porte et compte cinq grands pas vers le centre de la cellule. Il se retourne regardant la porte avec insitance. Il se met de profille,sautil, se gratte le nez et pousse de petits cris aigus. Il court soudainement vers la porte. Un enorme bang se fait entendre.
Il titube jusqu'à Mégalo le nez couvert de sang. "Fait gaffe au portier, il est pas commonde." Il tombe dans une inconsciente feinte. Des ronflements se font entendre digne d'un enfant de 4ans.

Le gros garde revient rapidement. Il est en compagnie d'un des marins qui ont fait le voyage avec son Altesse Mégalo.
"C'est cette homme, Notre majesté Mégalo Roi de l'île des fous" Le marin regarde par dessus son épaule comme s'il avait peur d'être suivi.
Il doit sûrement être paranoïaque. Tous les marins sont paranoïaque. Ca a le mérite de les rendre plus consciencieux dans leur travaille.

Le gros garde ouvre la porte rapidement. C'est alors que le jeune se lève et dit. " Le temps n'est qu'une porte, l'espace qu'une fenêtre en fait je suis dehors et vous dedans." Satisfait il s'assoie en tailleur au milieu de sa cellule."
"Si tu veux mon gars" répond le garde. " Si votre majesté veut bien vouloir sortir."

On rend rapidement toutes les affaires de Mégalo. Il se retrouve hors de la prison et des tribunaux en quelque heurs.
Le marin ne l'a pas lâché durant tout le temps. Il pressente des excuses pour son comportement légèrement hors normes à chaque personnes que Mégalo prends pour des lions, potirons, femmes à barbe et tir bouchons.

Une fois dehors le tricorne sur la tête et le soleil dans le dos Mégalo aussi fringuant qu'à l'accoutumer sans le souffle de l'aventure de nouveau sur lui.

La libération de mégalo lui avait rendu son envie de revoir ses sujets.Aussi décida-t-il de repartir immédiatement.

Le marin qui se rappelait du pourquoi de leur venue, l’avait expliquer aux gardes.
Alors ils lui avaient donné la potion. Et il la donna à Mégalo. En lui disant que c’était potion contre une attaque d’emmental de type Terre.

« Hum… Ca peut toujours servir on ne sais jamais lorsqu’on va se faire attaquer par des fromages…»

C’est alors que mégalo se mit à rire.
« Ha ! Ha ! ‘Fromage’ ! Ha !Ha ! Un faux mage ! »
Son compagnon se mit aussi à rire, plus par pitié que par la nature due la boutade du roi.

Puis tous deux reprirent la mer pour rentrer enfin chez eux.